20/05/2022
En octobre 2021, le Service Industriel de l’Aéronautique lançait le contrat verticalisé PMO 3S-MSV à Ambérieu-en-Bugey. Six mois plus tard, 1er bilan avec la Direction de la Maintenance Aéronautique.
Jeudi 5 mai 2022, une délégation de la Direction de la Maintenance Aéronautique (DMAé) était à l’Atelier industriel de l’aéronautique d’Ambérieu-en-Bugey pour le premier compte-rendu annuel d’activité du contrat verticalisé « pièces et main-d’œuvre » pour le maintien en condition opérationnelle du matériel aéronautique de Sécurité, Sauvetage, Survie (3S) et du matériel de Sécurité des Vols (MSV). Engageant le SIAé pour une période de 10 ans, il s’agit d’un contrat à objectifs de performance au profit de la DMAé et, in fine pour les Forces, bénéficiaires de ces matériels.
Cette échéance importante et contractuelle a permis de faire le bilan des premiers mois de mise en œuvre de ce projet, piloté à l’AIA d’Ambérieu : le taux de disponibilité des équipements 3S-MSV au profit des Forces a déjà été amélioré de 10%.
Lors de cette rencontre, il s’agissait pour le SIAé de saisir pleinement son rôle de titulaire du marché en amenant son expertise industrielle à la DMAé : suite à une analyse factuelle de l’environnement, des forces en présence et des contraintes, l’AIA-AB en charge du pilotage du projet a présenté les cinq enjeux majeurs identifiés. Particulièrement constructifs, ces échanges ont permis de fédérer la DMAé aux enjeux présentés par le SIAé, facteur clés de la performance de demain.
La montée en puissance du contrat verticalisé PMO 3S-MSV est donc bien amorcée et un nouveau rendez-vous est déjà donné à la DMAé !
A propos du contrat verticalisé PMO 3S-MSV :
Piloté par l’Atelier industriel de l’aéronautique d’Ambérieu-en-Bugey, ce contrat verticalisé vise à gagner en performance pour mieux répondre aux besoins des unités navigantes du ministère des Armées et du ministère de l’Intérieur, en termes de disponibilité des équipements 3S-MSV. Sa signature qui engage le SIAé sur 10 ans auprès de la DMAé, permet de rationaliser le soutien grâce à la réduction du nombre de titulaires en charge de la gestion de ces matériels.
